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Vidéo Loopsider/Santé Publique France "Chaque année en France, l'alcool cause 28.000 nouveaux cas de cancers." avec la participation du Dr Mathilde Touvier
Quels liens existe t-il entre consommation d'alcool et cancers ? Dr Mathilde Touvier répond à vos questions :
- Quels cancers sont causés par l'alcool ?
- Les cancers liés à l'alcool sont-ils fréquents ?
- Quelles sont les personnes les plus touchées ?
- Et pour une consommation d'alcool à faible dose ?
- Tous les alcools présentent-ils les mêmes risques ?
- Comment prévenir les cancers liés à l'alcool ?
Où en est le volet auto-prélèvement/test sérologique SAPRIS SERO ?
- Quand allez-vous recevoir vos résultats ?
Ce laboratoire prenant en charge tous les échantillons des cohortes publiques françaises participant au projet SAPRIS (NutriNet-Santé, Constances, E3N/E4N, ELFE/EPIPAGE), le délai de traitement reste pour le moment indéterminé.
Comptez sur nous pour vous informer dès réception de leur disponibilité !
- Comment ?
- Quelle est la fiabilité des tests réalisés ?
Adaptées aux tests à grande échelle, des méthodes immunoenzymatiques « ELISA » classiques seront utilisées dans un premier temps. Ces méthodes permettent de dire avec certitude qu'un individu n'a pas développé des anticorps et qu'il est « négatif ».
Mais il y a parfois des « faux positifs ». Pour avoir un résultat fiable à 100 %, les résultats ELISA-positifs doivent être confortés par la méthode de séroneutralisation*.
C’est ce qui sera fait dans le cadre de SAPRIS SERO : tous les ELISA-positifs mais aussi des ELISA-négatifs dont la valeur est plus « élevée » feront l’objet d’une validation en séroneutralisation.
*La séroneutralisation est la méthode de référence, validée par l'institut Pasteur. Elle permet de doser les anticorps qui bloquent le virus, appelés anticorps neutralisants. Cette méthode, nécessitant plus de temps, ne peut donc pas être utilisée sur un très grand nombre de prélèvements.
- Pourquoi n’avez-vous rien reçu malgré votre envie de participer ?
Compte-tenu de la faible disponibilité de kits, nous n’avons dans un 1er temps obtenu qu'un faible nombre pour les Nutrinautes volontaires, inférieur en nombre à vos réponses positives (merci !).
Ces premiers kits dont nous disposions ont tous été attribués à des Nutrinautes répondant à certains critères de sélection particuliers (sexe, âge, région).
Nous allons, fin juin, recevoir une 2ème vague de kits, en plus grand nombre, que nous pourrons attribuer aux Nutrinautes volontaires.
Mi-juillet, au plus tard, vous recevrez un email vous informant de votre sélection pour cette 2ème vague ou non.
Toute l’équipe NutriNet-Santé vous remercie de votre patience et surtout de votre soutien à notre étude et à la recherche publique.
25/07/2018 - Dossier Inserm
Les dents : miroirs de notre santé ?
Avoir des dents en bonne santé, c'est essentiel pour une bonne alimentation et un joli sourire. Mais pas seulement ! Car la cavité buccale n'est pas déconnectée du corps.
Et, comme le confirment un nombre croissant de travaux, les mauvaises bactéries buccales pourraient passer dans le sang et aller exacerber de multiples maladies à distance dans le reste de notre organisme...Dont des causes majeures de mortalité.
Heureusement, les chercheurs de l'Inserm entre autres tentent d'améliorer le diagnostic, la prévention et le traitement des troubles bucco-dentaires.
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23/07/2018 - Dossier Inserm
Bio-matériaux : la saga de l'Homme réparé
Des dents en bois au temps de l'Egypte ancienne aux céramiques qui renferment des cellules souches pour régénérer les os, en passant par les vaisseaux sanguins et le larynx artificiels, l'être humain a toujours tenté de remplacer des organes déficients.
Qu'en est-il aujourd'hui de la médecine réparatrice ? Quelles sont les dernières innovations ?
Quels sont les futurs biomatériaux ? A quoi vont-ils servir ?
Et quels sont les nouveaux défis que chercheurs, ingénieurs et médecins vont devoir relever, ensemble, pour réaliser les promesses de l'Homme réparé ?
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11/01/2018 - Dossier Inserm
Sexe et genre : mieux soigner les femmes et les hommes
Il n'y a pas si longtemps, les barboteuses des bébés filles étaient systématiquement roses, celles des garçons, bleues. Eh bien ce stéréotype reste d'actualité. Par exemple, les maladies cardiovasculaires sont auréolées de bleu, l'ostéoporose est quasi 100 % rose !
Bilan : diagnostic, prise en charge, traitements sont conçus pour une moitié de l'humanité, sans tenir compte de l'autre. Or, femmes et hommes sont différents tant au niveau biologique que dans leurs représentations sociales et culturelles, leurs modes de vie ; ces deux aspects, respectivement "sexe" et "genre", interagissent en permanence. Rien de surprenant donc à ce que les maladies s'expriment différemment et qu'il faille tenir compte de cette variabilité pour soigner l'ensemble de la population.
Une évidence qui peine pourtant à trouver un écho chez les chercheurs et les médecins. C'est pourquoi, dans le cadre de ses Journées recherche et santé (JRS), l'Inserm organise un colloque international sur le thème "Sexe et genre dans les recherches en santé : une articulation innovante", le 23 novembre à l'hôpital Necker-Enfants malades à Paris. L'objectif : mieux soigner les femmes et les hommes.
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